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29/10/2010
Tell No Tales
TNT
 
Nous avons décidé de vous faire découvrir (ou redécouvrir) les albums qui ont marqué une époque et qui nous paraissent importants pour comprendre l'évolution de notre style préféré.
Nous traiterons de l'album en le réintégrant dans son contexte originel (anecdotes, etc)...
Une chronique qui se veut 100% "passionnée" et "nostalgique" et qui nous l'espérons, vous fera réagir par le biais des commentaires ! .....
Bon voyage !


TNT a connu son heure de gloire à la fin des années 80 avec cet album.
Il est entré dans les charts de nombreux pays et a même franchi l'Atlantique pour chatouiller les géants du Hard US.
Petit rappel, TNT c'est d'abord son chanteur Tony HARNNEL dont la voix bien aigüe est immédiatement reconnaissable.
Il forme avec le guitariste Ronni LE TEKRO un binôme solide jusqu'en 2006, année où Tony quitte la formation.
Entre-temps, ils auront pu réjouir nos oreilles grâce à de superbes albums comme Intuition, ou My Religion en 2004, chroniqué sur metal-integral et salué unanimement par la critique.
Revenons en 1987 avec cette galette qui surprend d'abord par sa durée.
En effet, le tout est bouclé en 30 petites minutes.
Nous pourrions crier à la supercherie mais c'est sans compter sur la qualité intrinsèque des 11 titres qui constituent tous des hits en puissance.
D'ailleurs j'ai toujours préféré des albums courts et cohérents plutôt que des fourre-tout longs et désordonnés.

L'album débute avec 3 petits trésors : Everyone's A Star, 10 000 Lovers, et As Far As The Eye Can See (ma préférée).
C'est hyper mélodique et percutant !
Plus loin, Listen To Your Heart et Desperate Night sont de le même veine.
A noter également les solos de Ronni LE TEKRO dont la patte est très originale de par ses harmonies.
Les ballades sont également au rendez-vous : Child's Play et Northern Lights.
J'avais 15 ans à l'époque et rêvais de danser sur ces morceaux avec mon hypothétique dulcinée !
Le seul bémol de l'album est la tentative de speed-metal sur le morceau Tell No Tales.
A mon avis, c'est raté et ça ne colle pas avec le reste de l'album.

1987 est une année faste pour le Hard-Rock mélodique. L'hystérie def leppardienne est talonnée de près par cette dynamite.
A ne manquer sous aucun prétexte !

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Manu
Date de publication : vendredi 29 octobre 2010