19 / 20
06/04/2008
Believe
PENDRAGON
 
En route pour un nouveau voyage !
Comme c’est toujours le cas avec PENDRAGON.

Ce groupe a, au fil des albums, la même capacité de nous faire rêver, de nous transporter dans des contrées imagées, avec ce souci permanent de perfection. Le groupe trace sa musique sur laquelle les notes induisent des images, des visions et stimule notre imaginaire.

Believe a cette même faculté. C’est sans doute l’album le plus rock de PENDRAGON (No Place For The Innocent, Two Roads). Plus « gai » aussi que le dernier album studio Not Of This World (2001), écrit dans des conditions particulièrement difficiles pour Nick BARRET.

Le jeu de guitares de Nick (guitares, chant, paroles et musique) est toujours ensorcelant, captivant (We Talked), reconnaissable entre tous. Ici, il alterne subtilement la guitare acoustique et l’électrique (The Edge Of The World). Avec cette obsession des belles mélodies ! Son chant s’est fait plus grave aussi.

Les claviers de Clive NOLAN sont moins présents que par le passé. Plus effacés, ils assurent surtout les bruitages (à la DEEP FOREST sur Learning Curve), les chœurs féminins…

La rythmique est quant à elle toute en chaleur (Peter GEE à la basse et Fudge SMITH à la batterie), une fois de plus.
La réalisation de la pochette est de nouveau l’œuvre du fidèle Simon WILLIAMS. Un petit bijou visuel, à l’image de ses 6 compositions (9 en fait, The Wishing Well étant divisé en 4 parties). Pourquoi changer une équipe qui gagne ?

En France, PENDRAGON a son « fan club », emmené par le bouillonnant Didier. Alors en attendant le nouveau cru du groupe, Pure, pour la fin de l’année, allez vous promener sur le site de MUZILUS (cf liens) pour tout savoir sur PENDRAGON (plus de 30 ans de carrière tout de même !).

Du rêve, toujours du rêve. Merci PENDRAGON
Ben
Date de publication : dimanche 6 avril 2008