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Live report :  Live report : HELLFEST 2024 - CLISSON, les 27, 28, 29 et 30 juin 2024 ( DIMMU BORGIREXTREMEEMPERORMACHINE HEADTIAMATQUEENS OF THE STONE AGESAXONSATYRICONSODOMSTEEL PANTHERBRUCE DICKINSONI AM MORBIDSHAKA PONKDARK TRANQUILITYACCEPTMEGADETHCRADLE OF FILTHANAAL NATHRAKHMETALLICAFOO FIGHTERSYNGWIE MALMSTEENSUICIDAL TENDENCIESDROPKICK MURPHYSBRUTUSDISMEMBERFEAR FACTORYSTRATOVARIUS )
Date de publication : 18/07/2024
Auteur : NOCTUS
Le HELLFEST a certainement pris un virage cette année. Autrefois réservé exclusivement à un public 100% métal, le festival jouit à présent d’une reconnaissance qui dépasse les frontières de notre musique. Toute le monde connaît le HELLFEST, son ambiance, ses décors, il faut y aller un jour. Ben BARBAUD et son équipe sont les artisans de ce succès. Je rappelle que, depuis quelques années, la billetterie affiche complet en moins d’une heure, les 60000 "pass" 4 jours partent comme des petits pains une semaine après la fin de l’édition précédente et sans qu'aucun groupe ne soit annoncé ! Un véritable exploit qui place le HELLFEST dans le podium des plus grandes manifestations de musique en France et en Europe. Étant présent depuis 2008, j’ai vu sa longue et permanente ascension. Je reste admiratif du travail fourni pour en arriver là, en partant de quasiment rien et seul contre tous : attaque de certains politiques et d’association religieuses, absence de subventions des collectivités... Néanmoins, l’affiche s’est ouverte sur des groupes plus rock (FOO FIGHTERS en tête d’affiche, THE OFFSPRING, THERAPY ?...) faisant fuir certains puristes. J’observe moins de vestes à patchs et de T-shirt d’époque... Le vieux métalleux regrette l'absence de mastodontes en tête d’affiche, de le trempe d’un KISS, d’un JUDAS PRIEST ou d’un AC/DC, seul très grand, en plus d’un VAN HALEN (trop tard hélas R.I.P. Eddie) ou d’un BON JOVI, jamais venu ! Mais ces dinosaures dont l’âge des musiciens a largement dépassé les 70 ans vont finir par rendre l’âme. Je dois m’en faire une raison. Malgré tout, j'imagine difficilement que AVENGED SEVENFOLD, très bon groupe pour autant (tête d’affiche du jeudi soir) fasse la même carrière que METALLICA (tête d'affiche du samedi soir). Ceci étant dit, nous reviendrons à nouveau l’année prochaine car l’organisation et la convivialité du HELLFEST nous rendent pleinement heureux ! Il y a toujours des nouveautés comme la splendide gardienne des ténèbres ou un espace accessible propre au merchandising des groupes. Et même si la pinte de Grimbergen (seulement disponible en 50cl et non en 25cl !) est passée de 8 à 9 (!) euros, c’est aussi l’occasion de faire de belles rencontres inattendues et de s’ouvrir sur des nouveaux groupes qui seront peut être des futurs grands…

Les +
Très bonne organisation (agent sécurité, entretien, etc).
Facilité restauration à prix modique et beaucoup de choix en terme de régime (vegan, etc).
Mention spécial au green corner végétarienne et végétalien avec leur hot dog qui sont délicieux.

Les -
Comportement d’une partie du public étant plus consommateur que véritable spectateur.
Prix exorbitant des consommations.
Attente trop longue au niveau du "merch" officiel.


TOP 3 concerts hard rock
1. BRUTUS
2. QUEENS OF THE STONE AGE
3. STEEL PANTHER

TOP 3 concerts heavy metal
1. YNGWIE MALMSTEEN
2. SAXON
3. ACCEPT

TOP 3 concerts thrash metal
1. SODOM
2. METALLICA
3. MEGADETH

TOP 3 concerts black metal
1. SATYRICON
2. DIMMU BORGIR
3. EMPEROR

TOP 3 concerts death metal
1. I M MORBID
2. SUFFOCATION
3. ANAAL NATHRAKH

Notre appréciation des concerts auxquels nous avons assisté, Guillaume et moi (NOCTUS) :

Jeudi 27 juin 2024
Le groupe KERRY KING avec Paul BOSTAPH à la batterie sonne bien évidemment comme…du SLAYER. Sans surprise mais efficaces. Les compositions souffrent de la comparaison avec un Raining Blood repris par la foule.

BABYMETAL
Le groupe est en terre "clissonnaise" pour nous encenser de son mix J POP et métal.
Grosses guitares à la rythmique en béton armé, une chorégraphie en cadeau et la participation virtuelle de Tom MORELLO.
Un bonbon acidulé pour bien commencer la soirée. Un chant assez déconcertant quand même !

MEGADETH
Dave MUSTAINE parait peu en forme ce soir. Avec la goutte au nez visible sur les écrans géants, il semblerait que le grand rouquin soit un peu malade. Je comprends donc pourquoi il éprouve des difficultés à chanter sur le furieux The Mechanix. Néanmoins il donne tout et ses parties de guitares restent toujours tranchantes en riffs et virtuoses en soli. Dommage que Kiko LOUREIRO ne soit plus dans le groupe, je trouvais qu’il apportait une vraie valeur ajoutée. Heureusement Dirk VERBEUREN apporte sa puissance et sa technique derrière les fûts, MEGADETH dispose là d’un excellent batteur. Les hits s’enchaînent, Holy Wars, Peace Sells, Symphony Of Destruction, The Sick, The Dying… And The Dead, Skin o My Teeth et A Tout Le Monde pour son public français. Le son s’avère très bon mais cela ne constituera pas mon meilleur concert de MEGADETH. Le line up précèdent avait selon moi plus de gueule. Même si Dave n’a pas forcement très bien chanté, il a vraiment fait son maximum et parut touché par l’excellent accueil rendu par les festivaliers. Un bon moment.

SODOM
Quelle baffe. Dans l’Altar le son des allemands frôle la perfection. C’est puissant et ça joue vite ! En 2024, la formation allemande amenée par son fondateur Tom ANGELRIPPER, chanteur bassiste joue sous la forme d’un quatuor avec notamment l’excellent Frank BLACKFIRE (ex-KREATOR) à la guitare. Du pur Thrash allemand qui donne envie de mosher, comme je l’adore. La voix bien méchante sur des chansons bien choisies comme Agent Orange. J’avais déjà vu SODOM sur la Mainstage en 2015 mais j’ai trouvé la prestation de cette année encore plus intense ! Une heure qui défile à vitesse grand V et qui ne laisse rien repousser suite à l'explosion du terrible herbicide. Violent mais irrésistible.

Un petit tour devant DROPKICK MURPHYS afin de comprendre pourquoi les irlandais sont si appréciés. Il faut dire que leur punk rock celtique arrive à me plaire. Simple mais très efficace et terriblement festif

CRADLE OF FILTH paraît en forme ce soir avec une chanteuse blonde aux claviers qui assure plutôt bien. J’arrive à écouter quelques classiques comme Her Ghost In The Fog à la fin, un peu avant 2h du matin.

Vendredi 28 juin 2024

STEEL PANTHER
Rien de nouveau chez STEEL PANTHER. Un dernier album que j'ai trouvé moyen, beaucoup de bla bla sur scène, des blagues salaces portées sur le sexe, une centaine de paires de nichons sur scène… Mais leur hard rock glam qui transpire les années 80 fait l'unanimité et attire une foule massive de fans et de curieux (mateurs !). Il faut dire que les grands du style (MÖTLEY CRÜE, RATT, POISON...) vont disparaître et avec eux l'insouciance et l'extravagance d'une époque bénie pour notre musique. Donc on profite de STEEL PANTHER, et jusqu'au bout !

SATYRICON
Satyr étendard au poing monte sur scène pour nous convier à la célébration de son black métal aux accours Rock And Roll. 1h de communion avec le public, totalement acquis à sa cause. Le fidèle FROST toujours présent derrière les fûts, le "frontman" reprenant pour l’occasion le temps d’un titre. Hélas, pas de nouvelle composition.

EMPEROR
Le duo d’origine Samoth et Ihsahn très en forme, nous a délivré une heure de leur Black Métal progressif sans concession, passant en revue principalement les albums In The Night Side, Anthems To The Welkin At Dusk et Prometheus . Comme pour SATYRICON , pas de nouvelles chansons, capitalisant sur leurs titres emblématiques.

ANNAL NATHRAKH
Il aura fallu attendre une heure du matin pour prendre une leçon de Black Death Grind industriel métal de notre duo préféré. 60 minutes de brutalité, d’apocalypse sonore, un condensé de l’ensemble de leur carrière avec quelques titres de leur album tant décrié, y compris par les fans A New Kind Of Honor. Dave HUNT alternant growls, screams et chant clair puissant aux envolées lyriques avec une maîtrise déconcertante. L'heure tardive du show nous fait coucher tard (4h du matin), un changement du HELLFEST plutôt malvenu car les meilleurs groupes faisant souvent les clôtures de journée...

Samedi 29 juin 2024
Samedi est une journée très heavy métal traditionnel avec la tête d’affiche METALLICA dont le thrash métal a largement touché au-delà d’un public ancré dans les années 80.

BRUTUS
Arrivant sur la Valley, les premières notes de leur hymne War augurait d'un concert de haute volée et ce fut le cas. Privilégiant leur dernière offrande Unison Life, le trio nous a délivré trois quarts d’heure d’un show punkase shoegaze mélodique, avec Stefanie MANNAERTS officiant derrière les fûts et le micro sans la moindre fausse note. Pour le confort du public, une des deux scènes principales aurait été plus approprié.

STRATOVARIUS
C’est le grand retour de STRATOVARIUS que je suis content de revoir sur scène. Comme Timo KOTIPELTO s’avère encore très en voix, je passe un très bon moment en écoutant des classiques comme Black Diamond ou Hunting High And Low. Le fidèle Jens JOHANSON aux claviers apporte les sonorités classiques au heavy métal des finlandais. La qualité de ses partitions a toujours amené un plus et de l’originalité à un style initial qui pourrait paraître linéaire sans lui. Une belle introduction à la claque néo classique qui va suivre…

Yngwie MALMSTEEN
J’ai la chance de voir le maestro de la Fender pour la première fois, Yngwie MALMSTEEN, un des derniers monstres sacrés de la guitare comme me le rappelle un de mes camarades. Le musicien suédois met à l’honneur l’ensemble de sa riche discographie sous un backdrop Rising Force, son excellent premier album sorti en 1984. Néanmoins, il semble privilégier les compositions plutôt instrumentales. Ce gars est un génie, on dirait qu’il ne fait qu’un avec sa guitare, en solo, en lead…prenant toutes les positions possibles tel un "guitar hero". Un show à l’américaine où il casse ses cordes et joue avec les larsen. Une pêche d’enfer, une envie de performer qui donne un concert époustouflant, je craque littéralement devant cette facilité déconcertante (écœurante ?). Chaque note sonne, le tout dans une extrême fluidité. J’apprécie encore plus cet artiste en live. Yngwie MALMSTEEN nous propose une grosse surprise en interprétant pour la deuxième fois seulement (après un concert en Italie 4 jours plus tôt) une reprise de Jean Sébastien BACH, Badinerie ! Sublime. Il met ainsi tout le monde d’accord, le boss c’est bien lui. Un des meilleurs concerts du festival pour moi.

ACCEPT
La pluie fine arrive en même temps que le show d’ACCEPT. Cela n'empêche pas les allemands ne nous bombarder de leur heavy métal classique avec Restless And Wild, Fast As A Shark, Princess Of The Dawn ou l’indispensable Balls To The Wall (en rappel). Difficile d’être exhaustif en une heure tant leur discographie est riche. Cependant, la bande à Wolf HOFFMAN n’oublie pas de défendre son dernier disque Humanoid. Carré, efficace, son totalement maîtrisé, mission très bien remplie.

BRUCE DICKINSON
Étrange ce concert de Bruce DICKINSON qui évolue sur la Mainstage 2… Le public semble déjà positionné pour METALLICA qui évolue après sur la Mainstage 1. C’est donc plus une foule en attente que de véritables connaisseurs qui va assister au concert solo du chanteur d’IRON MAIDEN sous une pluie fine et pénétrante, en témoigne les espaces vides assez proches de la scène au côté opposé à la Mainstage 1. Ce ne sont donc pas des conditions optimales pour Bruce même si très en voix ce soir. Naturellement il chante des morceaux de son dernier album The Mandrake Projet paru cette année. Il n’oublie pas de sortir quelques blagues incompréhensives en français. La grosse déception pour moi est l’absence totale de titres de mon album préféré Tattooed Millionaire (1990), Bruce DISKINSON préférant privilégier son album favori The Chemical Wedding. Impression mitigée pour ma part.

METALLICA
Je me dois d’être objectif car ayant déjà vu les Four Horsemen 3 fois (1991, 2009 et 2022), forcément le « c’était beaucoup mieux avant » allait revenir. Mais comparer la tournée du black album auquel j’ai eu la chance de participer à celle de 72 Seasons, soit 33 ans après, serait inapproprié. James HETFIELD ne s’arrache plus la voix comme dans les années 80. Heureusement Monsieur « main droite » propose des rythmiques toujours ultra carrées (Creeping Death ou For Whom The Bell Tolls). Je persiste et je signe, METALLICA sans James ne pourrait pas exister, c’est évident ce soir en live. Robert TRUJILLO déjà dans le groupe depuis plus de 20 ans assure pleinement ses belles parties de basse comme sur le difficile Orion par exemple, quel régal. Dans le mix du son, la basse est placée en bonne position. C’est plus difficile pour Kirk HAMMET qui parfois fait des pains à l’image de celui au démarrage des arpèges de Nothing Else Matters, dommage… Lars ULRICH se donne à fond comme toujours même si sa régularité de rythme peut sembler manquer de constante et des titres sont joués plus lentement (Hit The Lights). Après un début prometteur mettant en lumière Ride The Lightning, METALLICA propose une première partie de concert un peu poussive, manquant de punch. La surprise de la reprise de l’Aventurier (INDOCHINE) que je trouve plutôt sympathique pour le public français divise parmi mes camarades. La deuxième partie de concert devient plus séduisante avec le réussi Seek & Destroy, le magique One (superbement mis en scène) et l’incontournable Master Of Puppets pour conclure. Je déplore la qualité des écrans géants proposés par le groupe, les gros plans sur les musiciens étant encadrés dans des rectangles limités empêchant une bonne visibilité pour les gens très éloignés de la scène. Globalement, METALLICA a délivré une prestation satisfaisante et a fait, comme d’ habitude, le job !

SAXON
Je suis persuadé que les plus jeunes vont quitter la mainstage après METALLICA, pari gagné, nous pouvons donc approcher du bord de la scène très facilement pour écouter la légende SAXON qui clôture la soirée. Nous allons avoir de la chance car les anglais vont proposer un concert sublime. Biff BIFFORD, presque 50 ans de carrière et 73 ans chante admirablement bien, quel est son secret ? Aucun hit du groupe ne manque à l’affiche, mes préférences allant pour Heavy Metal Thunder et Dallas 1PM de Strong Arm Of The Law (1980). L’aigle métallique d’époque bien retro est de sortie, les visuels sont sobres mais classe, de même que les lights très justes. Brian TATLER, fondateur de DIAMOND HEAD, lui aussi un groupe de la N.W.O.B.H.M. comme SAXON apporte son expérience et forme une belle paire de guitaristes avec Doug SCARRATT. Je souligne aussi la présence de Nigel GLOCKLER derrière les fûts présent dans le groupe depuis presque le début. Super concert dans une excellente ambiance. Biff nous gratifie de rappels en cadeaux avec Crusader et Princess Of The Night. Depuis la première fois où je les ai vu (2000), le groupe n’a pas baissé en qualité mais il ne demeure pas éternel… Il fallait donc absolument les voir !

Dimanche 30 juin 2024

THERAPY
Quel plaisir de revoir Andy CAIRNS, fantôme de nos jeunes années, revenir sur le devant de la scène pour nous délivrer la bonne parole de leur rock punk métal. Depuis les années 90, sa voix est un peu plus éraillée mais l’énergie est toujours là. Dommage que le groupe ait privilégié ses morceaux les plus rock.

WIEGEDOOD
Après BRUTUS, voici un autre trio du plat pays mais officiant dans un style plus sombre. Pendant 50 minutes, il nous a transporté dans son post black métal aux mélodies parfois hypnotiques. Concert principalement recentré sur leur dernier méfait There’s Always Blood At The End Of The Road. Le chanteur guitariste Levy SEYNAEVE se permet, au détour d’une chanson, un chant incantatoire des lamas tibétains… Même s'il manque une basse, le coup de cœur du dimanche !

BATUSHKA
Voir ce groupe polonais sur scène est une expérience. Cierges, icônes byzantines et objets de cultes orthodoxes y sont exposés, le chanteur bénissant la scène et la foule à l’aide d’un encensoir. Coté musique, un black métal puissant sublimé par des chants religieux ce qui lui confère une dimension spirituelle. Leur style respectant une nomenclature stricte peut sembler répétitif au bout d’un certain temps.

SUFFOCATION
Retour du combo New Yorkais avec le nouveau chanteur Ricky MAYERS. Contrat rempli car Franck MULLEN a trouvé son fils spirituel tant les vocaux du nouveau frontman sont d’une profondeur abyssale.Terrence HOBB en gardien du temple nous a asséné une heure de mélodie tranchante comme des lames de rasoir. Ce groupe reste le numéro un du death brutal technique. Superbe concert malgré un petit problème au niveau du micro vite corrigé.

QUEENS OF THE STONE AGE
Ce groupe est l'incarnation du stoner, un (hard) rock aux influences doom et seventies qui captive et peut faire planer. Son au top, J'apprécie tout particulièrement ce concert même si je connais peu le groupe (je possède seulement l'album Songs For The Deaf 2002).

DIMMU BORGIR
Le groupe Norvégien est très attendu, cela se ressent. leur dernier album Eonian (2018) a déçu et n'a pas marché. Trop d’orchestrations, cela s'entend vraiment sur le seul morceau joué ce soir, quasiment pas de guitare, Silenoz se contentant de quelques mouvements de main droite presque obligés. Heureusement, Shagrath fait plaisir à ses fans français en mettant à l'honneur Enthrone Darkness Triumphant (1997), troisième et meilleur album selon moi. Le black metal de DIMMU BORGIR reste très mélodique et constitue une excellente porte d'entrée pour découvrir ce style. Une heure qui passe très vite car les concerts du groupe commençaient vraiment à nous manquer. Une très bonne conclusion du Hellfest 2024.

Rendez-vous en 2025 !
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