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Chronique
UNTIL DAWN - Horizon

Style : Metal
Support :  CD - Année : 2013
Provenance du disque : Reçu du label
13titre(s) - 53minute(s)

Site(s) Internet : 
UNTIL DAWN WEBSITE
JON ASHER WEBLOG
UNTIL DAWN REVERBNATION

Label(s) :
Auto Production
 (17/20)

Auteur : Chouman
Date de publication : 09/06/2014
A la frontière du thrash et du heavy
UNTIL DAWN trouve son origine dans une soirée du Nouvel An organisée chez Luke WORELL (batterie), au cours de laquelle ce dernier improvise une jam avec Steve WHITE (guitare), donnant lieu à quelques ébauches de titres. La formation est complétée par le frère de Luke, Deke, en tant que second guitariste, et par le bassiste Luke DAVIS, avant que le chanteur Adam McLEOD ne soit recruté. Après qu’un de leurs morceaux a été inclus dans une compilation du label Suicidal Bride Records, le quintette signe un premier album éponyme (2011) dont trois titres comportent des références à la célèbre série Dexter : Slice Of Life, Dark Passenger et The Table And The Plastic. Son successeur, paru en 2013, s’intitule Horizon.

La plupart des plages de ce LP se situent à la frontière du Thrash et du Heavy Metal. Ainsi, This Fallen Fortress se caractérise tout autant par le recours à la double pédale que par la fluidité de ses plans lead. Dans le même ordre d’idées, évoquons l’introduction de The Red Sun Rises This Day, dont les parties de guitare, qu’il s’agisse des interventions solo ou des accords tenus, créent un climat de tension propice au jeu musclé de la section rythmique. Sur le plan vocal, Adam McLEOD utilise majoritairement le chant saturé. Toutefois on observe généralement, lors des refrains, une alternance entre cette technique et le plus classique chant clair, conférant un aspect plus lumineux aux titres concernés, Roamers And Lurkers et The Red Sun Rises This Day pour ne citer qu’eux.

UNTIL DAWN s’aventure parfois en dehors de son registre de prédilection, proposant par exemple la superbe ballade DNR, remarquablement chantée. Ce morceau évoque, en des termes poignants, la solitude et la détresse d’une femme :

« Every day she walks alone / In this concrete hell, that she calls home […]
She wakes to her vocals choking / Words just won’t come out […]
She waves but there’s no one looking »
.

A cette occasion, nous découvrons un groupe doué de sensibilité, un trait qui apparaît encore, en clôture de l’album, à travers des synthétiseurs et des violons conférant des aspects cinématographiques à Richard. Enfin, l’introduction de Horizon apporte une coloration Neo Metal à ce titre qui débute, de façon trompeuse, comme une ballade. Ces différents éléments apportent une originalité indéniable à Horizon.
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