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Chronique
KAMELOT - Poetry for the poisoned

Style : Symphonic Metal
Support :  CD - Année : 2010
Provenance du disque : Reçu du label
14titre(s) - 53minute(s)

Site(s) Internet : 
KAMELOT WEBSITE

Label(s) :
KMG
 (13/20)

Auteur : vyx
Date de publication : 18/10/2010
Trop de trop peu...
Ce qu'on attend de KAMELOT et ce qu'on entend sur son dernier album... et bien ça n'a rien à voir...
Poetry For The Poisoned était certainement attendu avec impatience depuis le Ghost Opera et a probablement beaucoup déçu.
En tout cas, en ce qui me concerne, l'ensemble des pistes est bien en dessous de ce que j'estime que KAMELOT peut produire...
Les recherches techniques sont assez linéaires et ont trop tendance à se reposer sur ce qui marche, donc manquent sérieusement de fantaisie.
Les alternances de rythme calme-speed sont sur-sollicitées... Certains morceaux prêtent à la radiophonie et sont écoutables sans être pour autant marquants.

Tout n'est quand même pas à jeter. Un certain clin d'oeil au serial-killer surnommé le Zodiac fait sourire et ne manque pas d'être remarqué avec une lettre à l'éditeur dans le morceau Dear Editor auquel s'emboite un morceau des plus diaboliques, The Zodiac, avec un travail soigné sur la voix.
Quelques envolées musicales (Necropolis, Seal of Woven Years) transportent également l'auditeur et parfois aussi avec des duos romantiques très (trop?) abordables (House on the Hill, Once Upon a Time).
Les morceaux Hunter's Season et My train of Thoughts sonnent de manière lointaine comme une nostalgie du très bon Ghost Opera, avec la force du Speed Metal en moins...

Le morceau Poetry for the Poisoned est découpé en quatre parties et pourrait être original. Elles s'enchaînent sans silence, avec des rythmiques imposantes et des paroles tantôt chantonnantes, tantôt lyriques. Le tout est un méli-mélo pas forcément désagréable mais certainement très hétérogène. La dernière partie (Dissection) fait penser à un duo de comédie musicale de seconde zone qui gâche un peu le côté Metal que l'on recherche encore dans cet album fade en général.

Le dernier morceau de l'album (Once Upon a Time) tire sur le classique speed et métallique d'un APOCALYPTICA, mais n'est pas pour autant assez soutenu pour emporter l'adhésion. Peut-être parce que trop calme...

Pour les amoureux de la voix de Roy KHAN comme moi, il sera néanmoins possible de se ravir. Sa voix est tout aussi délicieuse... et sait se faire puissante aux moments propices.
Quelque part, heureusement qu'il est là pour remonter un peu le niveau.
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Rémifm Le lundi 18 octobre 2010
Oh oui, Vyx, je partage ta déception... Celle de l'année pour moi... Bzzz
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