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Reportage :  Un entretien avec :
WILD DAWN - Rencontre avec Greg (guitare, chant) et Romain (guitare) à Paris, le 9 avril 2015
( WILD DAWN )
Date de publication : 17/04/2015
Auteur : metalmp
Nos fidèles lecteurs le savent : nous sommes plusieurs, chez METAL INTEGRAL, à avoir craqué pour WILD DAWN, groupe orléanais formé en 2008, auteur de deux albums d’un Heavy Rock efficace et direct et responsable de concerts explosifs et haut en couleurs. Pas étonnant que les gars aux chemises à carreaux, les bûcherons du Centre, aient été conviés à jouer les chauffeurs de salles pour des pointures telles que GIRLSCHOOL, ELECTRIC MARY, GOTTHARD ou aient été appelés à la rescousse sur des festivals comme le PMFF V ou le Raismesfest 2014 pour remplacer des groupes absents.
Nous avons profité de la sortie d’un nouvel Ep (avec les bonus, c’est carrément un album complet …) – Bloody Jane’s Shore -(lien vers la chronqiue: cliquez ici) – pour faire le point avec les incontestés leaders de WILD DAWN sur le présent et l’avenir du groupe. Vous avez dit Rock’nRoll ?

METAL INTEGRAL : Vous sortez dans quelque jours Bloody Jane’s Shore, un Ep. Pourquoi avoir choisi ce format plutôt que de proposer un véritable album ?
Romain : On a remarqué un truc tout simple : pour exister en tant que groupe, il faut être présent au maximum dans les médias. Et pour être présent, il n’y a, en gros, que deux possibilités : soit faire des concerts, soit avoir de la musique.

METAL INTEGRAL : Et vous, vous ne donnez pas de concerts…
Romain : On ne fait pas de concerts, non… Personne ne veut qu’on joue, on est trop bourrés… (rires) Non, on en fait des concerts, mais pas tout le temps. Du coup, on s’est dit que la chose à faire, c’est de sortir de la musique plus souvent. Un album, on peut en sortir un tous les deux ans environ… Le temps de le composer, de l’enregistrer, de trouver les finances, il se passe beaucoup de temps, tandis qu’un Ep, c’est moins de frais, moins de temps d’enregistrement, moins de temps de composition, ce qui nous permet de sortir tous les ans de la musique.

METAL INTEGRAL : Pourtant, vous avez ajouté trois morceaux acoustiques. Ça fait pratiquement un album…
Romain : Pratiquement, et c’est vrai qu’on aurait pu le vendre comme un album, mais on s’est dit qu’on n’est pas des escrocs… On a six nouvelles chansons, et les trois acoustiques sont des versions réarrangées de morceaux de l’album Pay Your Dues. On préfère dire que c’est un Ep plus trois bonus.

METAL INTEGRAL : Si je vous demande à tous les deux de me vendre ce nouveau disque, que pouvez-vous me dire pour me convaincre de l’acheter ?
Romain : Je dirais que c’est spontané, organique, énergique.
Greg : Un Ep à base de potes… On a enregistré ça avec des copains, sur un format un peu plus court. Du coup, on a pu s’approprier les morceaux et les travailler de manière plus intensive. En plus de ça, je dirais que toutes ces années de frustration, où on nous a dit « Non, Greg, ne double pas cette voix, ça ne sert à rien », « Non Romain, ne triple pas cette guitare ou ce solo »… On ne les a pas écoutés tous ces gens et on a décidé d’avoir une approche un peu moins puriste, de faire les choses comme on l’entendait. Ça sonne comme je pensais que ça sonnerait, je suis vraiment content du résultat…
Romain : Avec cet Ep, on est plus proches du WILD DAWN qu’on peu entendre en live.

METAL INTEGRAL : Comment décririez-vous l’évolution entre Pay Your Dues et Bloody Jane’s Shore?
Romain : Dans la musique en elle-même, il y a un côté beaucoup plus spontané, elle est moins réfléchie.
Greg : Dans le bon sens du terme, il y a toujours autant de rigueur, mais moins de prise de tête.
Romain : On est moins à se dire « on va faire ceci » ou « ça c’est un peu compliqué… » ? là on a plus cherché l’efficacité, que le riff sonne. Peut-être que jouer le riff à deux guitares, c’est tout aussi bien que l’un joue le riff, l’autre une mélodie et on rajoute encore un autre truc par-dessus. On a vraiment essayé de chercher une sonorité la plus accessible possible, et surtout qui rende justice à la puissance du groupe, et l’énergie qu’on peut dégager.

METAL INTEGRAL : Ce n’était pas le cas sur Pay Your Dues?
Greg : Moins, je pense. Il y a peut être plus ce côté Live, en fait. On n’arrêtait pas de nous dire : « les gars, quand vous jouez sur scène, vous jouez plus vite, c’est plus fort, il y a plus d’énergie ». C’est assez difficile à cepter en studio, cette énergie. Là, je pense qu’on s’en rapproche, on a réussit à toucher un peu du doigt ce genre de chose. Ca bouge, on sent le côté puissant de la chose.
Romain : On a pu enregistrer la basse et la batterie en live. Dans les autres enregistrements, on a d’abord enregistré la batterie toute seule, puis la basse. Et ils (Morgan, batterie, et Alex, basse) ont un côté très scolaire quand ils jouent l’un après l’autre. Surtout quand tu es à la batterie.
Greg : Ce qui est normal, c’est humain.
Romain : OK, tu joues, tu essaies de te donner, mais tu n’as pas cette puissance acoustique autour de toi. Là, on a mis Morgan et Alex dans la salle, ensemble, moi, je faisais la guitare pour les motiver. Mais on a vraiment enregistré les deux ensemble.

METAL INTEGRAL : Ce qui a créé une émulsion entre les deux…
Romain : Exactement, du coup, ça a créé une base qui est bien plus énergique qu’avant.

METAL INTEGRAL : Du coup, vous deux, qui êtes plus lents d’habitude, vous avez été obligés de suivre…
Greg : Nan… On est trop forts, donc on n’a pas eu besoin de jouer live pour avoir de l’énergie (rires)
Romain : C’est ça, oui ! On est déjà excités de base, alors…

METAL INTEGRAL : J’ai l’impression, avec les 6 nouveaux titres du Ep, que vous vous éloignez un peu de vos influences qu’on retrouvait assez facilement – ACDC ou METALLICA – pour travailler votre identité. Vous vous découvrez vraiment là…
Greg : C’est vrai. Je pense qu’on a acquis une certaine maturité. Ça fait maintenant 6 ans qu’on joue ensemble et on arrive en répète, avec un riff, la batterie vient s’ajouter, puis la basse. On arrive à retomber, ensemble, au même endroit. Ça vient naturellement. En plus, en nous étant détaché du côté « les gars, on a que 15 jours de studio, on en est au treizième, il faut absolument qu’on fasse la voix », ce coup-ci, on avait le studio à disposition. Je l’ai vraiment pris comme un laboratoire, Romain aussi, à la guitare. On a pu tester, jouer avec telle guitare et tel ampli, puis essayer avec une autre guitare un autre ampli et ça donne un autre son. On l’a vraiment pris comme un laboratoire dans le sens où on a expérimenté des choses et cherché. Du coup, je trouve que ça sonne vraiment bien. Sans doute parce que ça me correspond plus, ça nous correspond plus de manière générale.
Romain : Je pense qu’à force d’avoir donné pas mal de concerts ensemble et d’avoir déjà enregistré, on a tous trouvé notre place dans le groupe, et chacun a pu vraiment apporter sa touche personnelle dans les compos. Avant, c’était juste Greg et moi, ou Greg ou moi, qui portions la chanson de A à Z. Tout le monde a pu apporter et incorporer ses idées et je pense que l’alchimie est beaucoup plus présente sur ce CD.

METAL INTEGRAL : On sent vraiment l’évolution. Vous avez enregistré où ?
Romain : On a enregistré au Wild Studio

METAL INTEGRAL : Qui se trouve du côté d’Orléans, c’est ça ?
Romain : Exactement. On a enregistré au 108, rue de Bourgogne, où je bosse.
Greg : On a inventé le nom tout à l’heure, quelqu’un nous a demandé, et on a dit le Wa... le Wild Studio… On a gardé le nom (rires)

METAL INTEGRAL : L’invention du jour, en somme…
Romain : Oui. Et comme c’est mon boulot, ça nous permet surtout d’avoir accès à un local plus facilement.

METAL INTEGRAL : Où ont été enregistrés les morceaux acoustiques?
Romain : Ils ont été enregistrés… dans une cave, chez un pote !
Greg : Le pote en question, c’est celui qui nous a enregistré l’Ep, Nicolas SARDA, qui est très talentueux et qui est batteur à la base. On a pas eu l’occasion de travailler avec lui avant, il le voulait mais ça s’est mal goupillé. Quand on lui a dit qu’on avait un Ep à enregistrer, qu’on voulait le faire rapidement, il nous a dit « oui, carrément ! » et ça s’est fait. Les morceaux acoustiques ont été enregistrés avant l’Ep, et je le sens vraiment au niveau du chant, c’est différent. On avait en fait beaucoup de promo en radio pour Pay Your Dues. Les radios sont très friandes de groupes qui jouent live, mais amplifié, c’est quand même compliqué dans les studios. Ils nous ont demandé si on pouvait prendre une guitare acoustique pour jouer certains morceaux. On en avait trois, qu’on avait enregistrés et qu’on a jetés en pâture sur Youtube, comme ça. On les a remasterisés et inclus à l’Ep. Ce n’est pas quelque chose qu’on souhaite promouvoir, parce que je ne pense pas qu’on nous verra sortir une guitare acoustique sur scène un jour – ou alors, contre beaucoup d’argent, peut-être...
Romain : Ou alors quand on jouera 2 heures et qu’on aura besoin de repos !
Greg : Et si tu regardes la pochette, les titres acoustiques sont en gris sur fond gris. C’est volontaire, on ne souhaite pas forcément les mettre en avant. On a souhaité les inclure parce que nous les avions à disposition. En tout cas, ça a l’air de faire parler, donc c’est bien !

METAL INTEGRAL : Ce que je sens sur ces morceaux, c’est qu’il y a des influences Hispano, sud-américaines aussi, j’entends les bayous de Louisiane. Tu as joué avec un banjo ?
Romain : Non, pas avec un banjo, mais ça pourrait être rigolo d’en mettre un peu sur le prochain Ep. Je joue un peu de banjo… Une cigar-box. Quand on joue en acoustique, on a ce côté un peu sud des Etats-Unis, des trucs country, texans. Ça nous plait bien au final et ça colle bien à notre musique

METAL INTEGRAL : Ce sont deux aspects complémentaires. Revenons aux autres titres : comment sont nés ces morceaux ? Pour moi, il y a six styles différents, il y a de la pêche, mais aucun morceau ne ressemble au précédent ou au suivant.
Greg : Pourtant, on essaie de garder une ligne conductrice.

METAL INTEGRAL : Elle y est, mais pas dans le sens où l’on se dit « tiens, ça j’ai déjà entendu ».
Greg : C’est plutôt bien, alors… Au niveau des morceaux, comme d’habitude, le chanteur il est à la bourre pour écrire ses textes, donc les histoires sont arrivées après l’instrumentation. Processus de composition habituel, en fait : on arrive en répète, riff, et on brode autour. Ça s’est fait de manière spontanée, rapidement. Au niveau des paroles, j’ai essayé, déjà, de prendre note des anciennes chroniques en travaillant l’accent, en travaillant aussi le sens des paroles. Si on s’y intéresse, il peut y avoir un double sens, on peut s’approprier la musique. Après, c’est vraiment des histoires, en fonction des histoires, de l’humeur : si j’ai la tête dans le fion, ce sera un peu plus sombre, si je suis un peu plus en forme, ce sera des morceaux un peu plus pêchus, rentre-dedans, avec des thèmes plus drôles… J’ai fait un effort en tout cas sur l’écriture des paroles. Si on veut s’y intéresser, il y a moyen d’en déduire des choses…

METAL INTEGRAL : Ce qui m’intéresserait, c’est d’aller à cet endroit, le Bloody Jane’s Shore
Romain : Tu sais que ça a l’air assez dangereux cet endroit…

METAL INTEGRAL : Un peu Rock’n’roll aussi… Ces dernières années, on vous a vus ouvrir pour pas mal de pointures, comme KORITNI, ELECTRIC MARY, GIRLSCHOOL, NASHVILLE PUSSY, GOTTHARD… Que faut-il aujourd’hui, d’après vous, pour que WILD DAWN arrête de faire des premières parties et explose vraiment ?
Greg : Il faudrait qu’on tourne à l’étranger, clairement. C’est quelque chose que nous sommes en train de travailler, qui prend beaucoup de temps à monter, et on essaie de faire ça avec nos moyens, parce que, non, nous ne sommes pas encore des Rock Stars et nous ne vivons pas pleinement de notre musique… En tous cas, c’est quelque chose qui nous permettrait de franchir un cap. Ça me ferait très plaisir de voir comment on serait accueillis dans d’autres pays que la France.

METAL INTEGRAL : Vous avez des échos, des retours de l’étranger sur vos productions discographiques ?
Greg : Ouais, les Allemands. Mais j’ai l’impression qu’ils sont friands de tout… On a de l’Allemand, du Belge, et dans l’ensemble, ça se passe plutôt bien, et j’ai hâte de voir ce qu’ils pensent de cet Ep qui, pour moi, est beaucoup plus abouti que ce qu’on a pu produire. On a des plans pour la Russie, pour le Japon… Ce serait vraiment quelque chose qui me ferait bien marrer à titre d’expérience humaine. Mais aussi, on n’arrête pas de nous parler de l’accueil japonais pour les groupes français, et j’ai envie de voir ce que ça donne…

METAL INTEGRAL : A ce moment-là, je pense que vous aurez besoin d’un photographe ! Le 24 avril, vous allez ouvrir à Orléans pour DAGOBA, il y a aussi les Parisiens de STICKY BOYS qui correspondent plus à votre style de musique, et aussi IMPUREZZA. Je crois que c’est vous qui en êtes à l’origine, alors comment êtes-vous parvenus à monter cette affiche ?
Greg : En fait, avec Romain, on a monté une association avec l’impulsion de potes autour de nous, et on s’est dit que ça pourrait être sympa, sur Orléans, de faire bouger les choses. Le 24avril, ça fera office de release-party pour Bloody Jane’s Shore et on a un plateau avec deux styles. Il va y avoir deux scènes, l’une avec STICKY BOYS et WILD DAWN pour le côté un peu Rock, et DAGOBA et IMPUREZZA pour le côté un peu plus brutal, Death. On va attendre beaucoup de monde et on est contents de jouer dans la SMAC (Scène des Musiques ACtuelles) de chez nous. On est à domicile, et on va certainement avoir un bon accueil, comme à chaque fois qu’on joue à Orléans. Ça c’est vraiment super, jouer à la maison, c’est toujours un bon gros kiff !

METAL INTEGRAL : L’étranger, oui, mais la maison…
Greg : La maison avant tout ! Mais l’étranger, on y travaille parce qu’on voudrait vraiment voir du pays.

METAL INTEGRAL : Sur votre disque, je vois ce logo, Slap Track. C’est quoi ?
Greg : C’est justement l’association en question. C’est un aspect que nous souhaitons aussi développer plus tard, le côté production musicale, solution clé en mains… Avec le parcours qu’on a, on sait maintenant à peu près comment se débrouiller pour sortir un CD, et c’est toujours compliqué pour les groupes qui débutent de savoir comment s’y prendre, qui contacter… On peut les driver là-dessus et leur proposer des solutions. Bloody Jane’s Shore, c’est un peu une vitrine disant « on est capable, avec Slap Track, de sortir ce genre de chose, avec ces moyens de production ». On aimerait que ce soit aussi un label, en fait.

METAL INTEGRAL : Comment on fait pour vous contacter ?
Greg : Facebook, Internet…
Romain : Si tu achètes le CD, il y a les adresse dans un petit encart, derrière, avec toutes les infos…

METAL INTEGRAL : Quand vous êtes sur la route, que vous n’avez pas d’obligation de concert ou de soundcheck, qu’est-ce que vous aimez faire ? *
Romain : Entre deux dates ? On aime aller au restaurant, bouffer, et après, aller dans un bar et boire des coups ! Une bonne bouffe, et une bonne boisson !
Greg : C’est le pays de la gastronomie !
Romain : Après, il en découle forcément des conneries, parce que quand tu es dans un état second et que tu vois les loustics qui composent le groupe, ça devient vite n’importe quoi !

METAL INTEGRAL : Dernière chose : vous avez une carrière qui commence pouvez-vous penser à deux questions que vous souhaiteriez vraiment qu’un journaliste vous pose un jour ?
Greg : Ah, la vache, c’est dur, ça ! Tu en veux deux, pas une ?

METAL INTEGRAL : Deux. Une question chacun.
Greg : J’avais pensé à un truc du genre : c’est quoi ton rêve de gamin ? mais on me l’a déjà posée…
Romain : Moi, j’aimerai bien qu’on me parle de l’approche de mon jeu de guitare.
Greg : Tout le monde s’en fout ! (rires)

METAL INTEGRAL : C’est peut-être pour ça qu’il faudrait la poser…
Romain : Quand tu lis certaines interviews, tu as toujours des gars qui demandent « pourquoi tu joues telle gamme, pourquoi tu fais tel truc ? » Je voudrais bien, un jour, rencontrer un mec qui me parle de la technique d’instrumentation du groupe. Ça m’intéresserait d’en parler. Mais pour le moment, c’est jamais arrivé…

METAL INTEGRAL : Greg ?
Greg : là, comme ça, rien… On m’a tout posé, comme questions… Non, pas tout, mais… Juste avant je disais : « C’est quoi ton rêve, ce que tu voudrais faire avec WILD DAWN ?», chose à laquelle je répondrais : « juste serrer une pogne à James HETFIELD, mais si en plus on peut jouer en première en première partie d’un ponte comme ça… »

METAL INTEGRAL : tu remarqueras que je t’ai demandé quelle question tu souhaiterais qu’on te pose, je ne te l’ai pas posée… En fait, ce sont deux questions que je poserai lors de ma prochaine interview (rire général). Mais je note quand même ta réponse. Une dernière chose à ajouter ?
Greg : Continuez de faire vivre cette musique Rock, d’aller voir les groupes qui vous font kiffer, à partager, diffuser cet esprit Rock’nRoll. Quand à Bloody Jane’s Shore, on est impatients de partager cette musique avec vous et on attend vos retours !


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